[...] {S'adressant au choeur invisible et muet.} O voix sereines et consolatrices qui me parliez, et qui me
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SEMBLIEZ
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venir non des tristes choses de la terre, mais des hautes et tranquilles régions où l'homme retrouve Dieu dans la douceur et la paix des choses éternelles, répondez-moi!