Probablement en conséquence de la forte concentration des études à quelques localités, conjointement à la distribution relativement restreinte des formations végétales arides et
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SEMI-ARIDES
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{(Sarmiento 1976)}, la presque totalité des études réalisées dans les néotropiques l'ont été dans des habitats forestiers recevant généralement plus de deux mille millimètres {2000 mm} de précipitations annuellement.