Le public profane était venu de bonne foi à la littérature québécoise, il se heurte souvent à des choses sophistiquées, des livres d'institution justement, à d'autres oeuvres qui promettent plus qu'elles ne rendent, mal
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STRUCTURÉES
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, parfois même mal écrites et ennuyantes, le tout étant présenté par les média exactement de la même manière unie et lisse.