De la même façon, rien n'interdit à un auteur de prose de recourir à la quantité de procédés poétiques qu'il voudra, dans la mesure où il
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SUBORDONNE
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ces procédés à la vision narrative, dans la mesure où son langage narratif est assez puissant pour plier à ses propres fins ces procédés qui pourraient sembler hétérogènes.