Le Québec par des mots
Le Québec par des mots
Le Québec par des mots, c'est d'abord un imposant répertoire dans lequel on retrouve, répartis en trois tomes, plusieurs milliers de mots et d'expressions rassemblés et traités selon une approche multidisciplinaire faisant appel, entre autres, à la géographie, à l'histoire, à la néologie et à la terminologie. Par la mise en relief de certains traits particuliers (Le rang des campagnes, L'hiver et le Nord, Les Laurentides), l'ensemble de l'ouvrage permet de brosser un large tableau géo-culturel du Québec qui, ainsi éclairé sous cet angle, révèle de multiples nuances et particularités.
Le Québec par des mots, c'est aussi le résultat d'une vaste étude menée par Louis-Edmond Hamelin, géographe, néologue et grand spécialiste du Nord (c'est d'ailleurs à lui que l'on doit le mot nordicité). Il s'agit du fruit d'un important travail de collecte de données, de réflexion et d'analyse, qui s'est poursuivi sur de nombreuses années, et qui a finalement abouti à la création des répertoires présentés ici. Le tout constitue un ensemble remarquablement original, tant par le vocabulaire traité que par les notions évoquées, et constitue un véritable monument au patrimoine géo-culturel québécois.
Remerciements
Ce site a été réalisé grâce à la collaboration des personnes suivantes : Marie-Claude Lavallée, Bernard Bérubé, Denis Wolfshagen et Luc Beaudoin. Ont également participé au traitement du contenu les personnes suivantes : Steeve Tremblay, Geneviève Labrecque, Stéphanie Ayotte et Jean-Marie Lessard. Le projet était placé sous la direction de Pierre Martel et d'Hélène Cajolet-Laganière, de l'Université de Sherbrooke, et a été rendu possible grâce à une subvention du Secrétariat à la politique linguistique du Québec.
L'auteur exprime sa profonde reconnaissance, d'une part, à de nombreux usagers non spécialisés et, d'autre part, à un grand nombre de linguistes, en particulier, Marcel Juneau et Claude Poirier, du Trésor de la langue française au Québec, Guy Rondeau et Jean-Claude Boulanger, de l'Université Laval, Pierre Martel et Hélène Cajolet-Laganière, du Centre d'analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l'Université de Sherbrooke, Henri Dorion, de la Commission de toponymie du gouvernement du Québec, Terence Armstrong, de Cambridge, de même qu'à plusieurs néologues et étudiants de Québec et de Sherbrooke.
